Depuis 1940, on emploie la musicothérapie dans le traitement des maladies mentales, où elle donne des résultats remarquables. La musique a toujours eu un pouvoir calmant et méditatif sur l'esprit humain (même sur l'esprit animal, affirment plusieurs spécialistes en zoologie) et elle adoucit les mœurs, comme le précise l'aphorisme bien connu.
Depuis des millénaires, la musique joue un rôle primordial dans la vie socio-affective de l'être humain et ses pouvoirs curatifs commencent à être reconnus par un plus large public.
Quoique la médecine traditionnelle ne voit en elle que ses vertus apaisantes, des chercheurs ont découvert qu'en filtrant certaines fréquences de façon très subtile, on pouvait stimuler l'attention et l'activité cérébrale, menant ainsi à une meilleure perception des stimuli extérieurs.
On doit cette nouvelle ouverture à un certain français du nom d'Alfred Tomatis et on l'utilise de plus en plus dans différents pays afin d'aider les personnes souffrant de handicaps mentaux, de dyslexie, d'hyperactivité et d'autisme entre autre.
Il semble que différentes parties du corps humain réagissent aux sons les plus diverses. Nous connaissons tous l'exemple de l'ongle sur un tableau ou de la goutte d'eau qui tombe sempiternellement, nous amenant à ressentir une agression si douloureuse qu'elle pourrait même nous faire perdre la tête.
La musique, à cause de sa nature harmonieuse, a sur l'ensemble de l'organisme un effet parfaitement contraire. Certains chercheurs avancent même qu'elle exerce un pouvoir d'équilibre au niveau de l'énergie intérieure.
La musique serait non seulement un ennemi redoutable pour le stress mais elle agirait aussi comme une sorte de régulateur sur la circulation de l'énergie vitale.
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