La médecine traditionnelle, devant cette avalanche de petits symptômes aux troubles plus graves, ne sait plus vraiment où donner de la tête et bien souvent, on règle le problème en prescrivant quelques cachets et des séances chez le psychiatre.
La désillusion dont nous sommes assaillis, en quittant les cabinets des médecins, nous pousse à chercher refuge vers des alternatives médicales différentes.
Las de nous faire seriner que nous n’avons rien au dos, que nos difficultés respiratoires sont occasionnées par l’anxiété, que nos poussées d’urticaire sont la conséquence d’un surplus de travail, nous choisissons une approche plus humaine : celle des médecines douces ou naturelles.
D’abord parce qu’elles constituent une forme de prise en charge personnelle de notre santé dans une époque où les médecins restent inaptes (et surtout trop occupés pour nous allouer le temps adéquat) à diagnostiquer les malaises mineurs et ensuite parce qu’elles proposent l’utilisation d’éléments naturels pour curer ces inconforts.
Bien sûr, les médecines douces ne viendront jamais à bout de maladies graves mais elles peuvent certainement soulager bien des souffrances et apprendre à l’être humain combien il est nécessaire pour lui de faire corps avec son milieu. C’est en quelque sorte une forme de désintoxication, un retour à la nature qui dans bien des cas est d’une efficacité redoutable.
Vous trouverez donc dans ces pages un bref survol des différentes médecines douces les plus fréquemment utilisées, celles qui donnent les meilleurs résultats tout en étant, sinon reconnues, du moins tolérées par la médecine traditionnelle.
Bonne lecture !
Gabrielle S.
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